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Le quotidien Al Akhbar accuse la Banque Mondiale de nuire à la fourniture d’électricité au Liban. Le quotidien indique que si le ministère de l’Énergie a achevé tout ce qu’il avait demandé pour la préparation de l’infrastructure method, administrative, financière et connexe avec les events concernées en Syrie, en Jordanie et en Égypte, l’establishment financière refuserait toujours d’approuver le financement dans l’attente d’une “étude de faisabilité politique”.
Ainsi, le ministre de l’énergie Walid Fayyad aurait mis en oeuvre ce qui avait été convenu en vue de débloquer les contrats d’importation de gaz et d’électricité.
Parmi les situations mises en oeuvre, l’approbation d’un plan de réforme par le conseil des ministres, la remise en état des infrastructures en Syrie ou encore en Jordanie, ou encore “à la demande de la Banque mondiale, Siemens et Électricité du Liban (EDL) ont effectué une inspection method de la station de Deir Ammar pour tester son aptitude à recevoir du gaz”. Un advisor aurait aussi été nommé en vue de mener une étude d’affect environnemental tout comme un audit serait actuel mis en oeuvre concernant les comptes de l’Electricité du Liban.
Cependant, les prêts nécessaires à la mise en oeuvre de la fourniture de gaz et d’électricité n’ont pas encore été libérés, cela “sans aucune justification claire”, poursuit le quotidien. “La query est de nature purement politique et est liée à l’étude de faisabilité politique, dont il ressort seulement que la Banque veut garantir des positive factors politiques aux décideurs dans le financement de l’extraction d’électricité et de gaz,” conclut Al Akhbar.
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